Brigitte Bègues : vaccins, le vrai du faux (Delachaux et Niestlé)
L’ouvrage de Brigitte Bègues apparu chez Delachaux et Niestlé : vaccins le vrai du faux , que j’ai emprunté à la bibliothéque de mon quartier, est intéressant car il essaie de façon pédagogique mais à mon avis sérieuse d’aborder une question « sensible , relativement critique sans être pour autant un livre charge. C’est suffisamment rare pour être souligné, même si la limité est qu’il date de fin 2014. (Grosse bibliographie à la fin).
Disons d’emblée cependant que la question de la prévention par les vaccins est un sujet complexe et que les résultats sont assez souvent nuancés :
soit que les vaccins ne soient pas le moyen le plus efficace de prévenir la maladie ( cas du vaccin contre le papillomavirus contre le cancer du col de l’utérus)
soit qu’il existe des risques réels pour certaines personnes peu nombreuses mais à risques (« victimes » de vaccins dont la double peine est de ne pas être reconnus non plus comme « victimes »),
soit, au contraire, que les risques mis en avant s’avèrent finalement moindres qu’annoncés, parce que, par exemple, la cause est un moyen de production particulier du vaccin et non pas le vaccin lui même (exemple du vaccin contre l’hépathite B en France à une époque, qui eu des effets indesirables, par ailleurs absents dans d’autres pays, avec d’autres modes de production).
La vaccination est elle efficace ?
Constat
1 la polio : l’éradication de cette maladie n’est pas tout a fait atteinte en 2013 puisque présente encore dans 3 pays (Pakistan, Afganistan, Nigeria).- et en Syrie où les conflits armés empèchent l’accès à la vaccination ; des virus sauvages circulent encore notamment en Afrique du nord. Il existe aussi des cas de « polio vaccinale » en cas de vaccin oral ( le vaccin oral est moins cher mais plus « risqué »).
2. Diphterie : obligatoire alors que risque en 2014 n’est plus « ni présent ni constant » (deux élements au fondement de l’obligation vaccinale) Il subsiste néanmoins quelques cas (Afrique, zones de voyages). La diphtérie qui a tué jusqu’aux années 1920 est très contagieuse. Il subsiste un débat sur les cause de la réduction de la maladie : 1. l’obligation vaccinale vient en première explication, mais il subsiste un doute, car la maladie a également decliné en en Norvege qui n’avait pas vacciné massivement. Selon l’OMS :, en 2007, 87% vaccinés dans le monde-
3.Tétanos : il s’agit d’un vaccin « égoiste » : il protége les vaccinés et pas les autres.
La maladie n’est pas éradicable (car le problème vient du sol), elle entraine des séquelles dans un tiers des cas. La vaccination est efficace mais il faut les rappels (il existe des cas chez des personnes de 70 ans pas à jour de leur vaccins).
Dans pays en developpement y a problème.
4. BCG : « Bacille de Calmette et Guerin. Exemple type d’un vaccin dont on a surestimé les bénefices ».
Sans traitement on meurt (risque 50%) en quelques années.
Mais des données ont semé le doute : en Allemagne, les resultats sont identiques des deux côtés du mur alors que l’un des groupe n’était pas systematiquement vacciné). Un Test en Inde en 1999 est encore plus troublant : trois groupes , un à dose habituelle, un deuxième groupe qui perçoit 1/10 eme de la dose et le 3eme un placebo- . Bilan, des resultats identiques !.
Rien n’indique non plus qu’il soit efficace pour réduire la contamination. Enfin, il n’y a aucun lien entre le résultat positif au BCG et l’immunisation. De plus il n’est pas sans risques ; chez 18% des enfants le vaccin provoque des ulcérations, abces, fistules ou lesions cutannées (p54) et exceptionnellement des inflammations ganglionnaires ou rate foie poumons fatales dans un cas sur deux.
La France fait figure d’exception en continuant à vacciner. Jusqu’en 2007 alors que GB Allemagne et USA Suede avaient change de politique. Le BCG est une invention Francaise…prevention aujord’hui = isolement, port de masque, et rapide prise en charge. Reste important cas en Afrique subsaharienne et asie-
5. ROR Rougeole Oreillons Rubeole.
Souvent sans conséquence, la rougeole peut se compliquer, et avoir de graves conséquences. On peut noter que l’Immunisation due au vaccin est moins forte que celle liées aux defenses naturelles. on recommence à vacciner car la rougeole est trsè contagieuse.
6. Grippe saisonniere. Due au virus Influenzae et à ses 3 sous groupes A , B et C. Mais les médecins avouent que pas un très bon vaccin ( en terme d’efficacité). On manque d’évaluations serieuses (existent par ex. des financements biaisent les resultats : p61 etudes fiancées par des laboratoires.Ceci dit, « selon l’organisation indépendante COCHRANE, la vaccination réduirait beaucoup les symptomes chez les plus de 65 ans ». . mais ces resultats seraient incertain chez les plus jeunes en bonne sante et chez les plus de 75 ans !… Dans les maisons de retraite, le vaccin est efficace contre propagation si tout le monde est vacciné ; or seulement 25% des soignants sont vaccinés. Semble cependant plutot bien tolére. Efficaice surtout chez 15- 59, ce qui n’est pas la cible, donc. (etude 2013).
7. Hepathite B. « C’est par ce vaccin que le doute s’est installé chez les francais ». En France la maladie touchait en 2014 un peu moins de 300 000 personnes -1500 en meurent (par an)- Transmission voie sanguine ou sexuelle.
En 1994, grande campagne de vaccination avec quelques informations erronnées (laissant entendre que se transmettrait par la salive et les larmes):Pratiquée sur les adultes, elle aurait engendré plus de complications (scléroses , en plaques) , alors que certains pays ne la recommandaitent qu’aux personnes vulnérables (pays scandinaves, R. Uni, Irlande, Pays bas, Allemagne. Seules les personnes à risques ont été visées ensuite. Mais le vaccin fait toujours l’objet d’une surveillance :
En 2011, l’ANSM , a enregistre 1650 affectons démyelisantes centrales dont 1418 scléroses en plaque. Dont 67 chez des enfants de 15 ans ou moins, et d’autres symtômes … Ces cas ont été analysés – Résultats pas concluantes pour autorités . Débat pas fermé pour autant car cas de sclérose en plaque a concomittance troublante. 55 % population à risuqe est vaccinée ;
8. Papillomavirus.
Depuis 2008 deux vaccins recommandés : Gardasil et Cervarix. La maladie ( ou ses suites) tue 1000 femmes sur 3000 contaminées par an en F. La majorité élimine ce virus spontanement, mais peut dans 5% des cas donner un cancer.
Vaccin contesté des le depart : (en termes d’efficacité : le cancer se developpe sur 15 ans et on n’a guere de preuves que le vaccin puisse l’empécher ! De plus, se croyant immunisés, un certain nombre de jeunes deviennent negligeants . . L’obligation du frottis entre 25 et 65 ans constitue meilleur protection, Les pays scandinaves qui ont rendu le frottis obligatoire ont vu diminuer de 80% les cancers du col.
Effets indesirable :à la suite de la plainte de Marie Oceane victime d’une Encephalomyelite, la commission de concilation et indemnisation des risques medicaux de l’assurance maladie a conclu a une responsabilite publique de 50%.
En France il y a en Avril 2013 2000 cas d’effets secondaires rapportés par l ANMS dont 500 serieux et 4 deces. Mais : ne seraient pas plus frequents chez les filles non vaccinées ;fragment ADN colés à de l’aluminuim a engendre inquietude et polémique.
Pays qui ont un moratoire : Japon – N’est n’est plus incrite au tableau vaccinal : Autriche.
9. Coqueluche et Varicelle : coqueluche n’est pas grave en soi mais risque pour les petits…vaccin « acellulaire » qui content seulement des extraits de la bactérie. Recommandation vaccin à 2 mois puis 4. (3mois pour la Suède). 27 hospitalisations pour 10000 malades, le plus souvent c’est bénin. 90 % des gens qui pensent ne pas être immunisés le sont.
Coqueluche très contagieuse transmise par adultes en général virus.
Varicelle : la prévention est controverséé vaccin immunise pas longtemps or pour la varicelle risque c’est plus grave quand plus âgé. cf zona Vaut mieux l’avoir petit, quand on l a petit, l’ immunité dure toute la vie. Vaccin à bannir chez les personnes sous aspirine.
Voyageurs : fièvre jaune (pas pour mere allaitantes) Palu n’a pas de vaccin mais des soins.
VACCINS
II Y A T IL DES RISQUES ?
Balance benéfices risques :
Avant d’attribuer une autorisation de mise sur le marché (AMM) , l’ ANSM comme EMA ( agence européenne des Medicaments) examine la Balance benefices risques : dépend de la gravité et de la frequence de la maladie, de l’efficaciét et des effets indesirables des vaccins et des risques encourus par la population en l’basence de vaccin.
C’est clair Si pas trop de risques, et s’ il n’y a pas de soins possibles… Test : essais cliniques d’abord sur animaux puis sur des volontaires. Mais ces études sont effectuées sut une courte durée et un echantillon reduit. Tout n’est pas prévisible . Ainsi personne n’avait prevu les cas de narcolepsie avec vaccination contre la grippe H1N1. »Les effectifs des essais sont insuffisants pour dépister les troubles rares »reconnaissent les professionnels de la pharmaco vigilance » Les risques sont encore plus difficile à dépister quand les personnes recoivent pas un placebio mais des composants du vaccin y compris l’adjuvant-_ l’evaluation prend en compte l’efficacité sur les marqueurs biologiques ( taux d’anticorps) mais rareeant sur les marqueurs cliniques ( prevention de la maladie)or le risque est acceptable si le les benefices sont surs et consequents.
Pour l’asso AMALYQE la balance avantages / risques ne peut pas s’estimer de la même facon que celle des medicamenrs, lesquels s’adressent à des personnes malades alors que le vaccin s’adresse à des personnes en bonne sante.
A la suite de l’affaire du médiator, d’autres problèmes ont été pointés, notamment dans un rapport de l’ Igas ( inspection generale des affaires sociales) : l’absence de transparence des données transmises par les firmes pharmaceutiques pour obtenir une AMM-
les études parfois biaisées par financées par les indusriels, les liens d’interet financiers ou intellectuels entre ces deniers et les experts chargés d’avaluer leurs produits etc…
directive européen 2014 oblige les labos à à prsenter tousleurs essais y compris ceux qui ne sont pas concluants.
Efficacité de la surveillance :
La pharmaco vigilance permet d’identifier, d’évaluer, et prévenir les risques d’effets secondaires des medicaments et vaccins une fois qu’ils sont sur le marché ».
Fondé sur une notification spontanée des effets indesirables par les medecins et depuis 2011 les patients.
Quand les alertes sont inquietantes, les agences doivent diligenter des études. Mais la surveillance est loin d’être parfaite. Probléme : une partie du suivi dépend directement des industriels qui alimentent et gèrent les bases de données. Certaines sont oubliées, d’autres sont court-cicuitées ( recueil direct du medecin par les labos) et pas signal »s aux agences ( ANSM et EMA)
Ensuite, l’alerte ne suffit pas : il faut qu’elle soit traitées !
Mediator : les premiers signaux d’alarme remontent à 1997, il a fallu attendre 2009 (12 ans).L’ affaire a montre que les liens étroits entre les firmes, les experte et les pouvoisr ne favorise ni la reactivité ni l’objectivité.L ‘ ANSM a même été mise en examen pour homicide et blessures involontaires entre 95 et 2009.
Il est très rare qu’un vaccin soit retiré.
(Arrivé aux E.U., pour le Rotashield dont les effets indesirables - du fait de l’échantillon d’évaluation réduit,- etaient indétectables).
Myofasciite à macrophages -= MFM (syndrome guerre du golfe)
La polémique sur l’aluminium : L’étude sur des souris vaccinées par le prof. Gherardi montrait de la prostination et moins d’endurance pendant 35 J. L’Adjuvant d’alumimium.Cet adjuvant est cependant administré aux humains depuis le debut du siècle dernier ! .Mais le prof G Suggère que dans un contexte d’expansion mondiale de la vaccination, où des doses de plus en plus importantes d’aluminium sont injectées aux enfants, une attention plus grande soit portée à cet adjuvant dans l’évaluation de la balance benefices risques. Et qu’on se penche sur les risques de prédispostion individuelle. Cette précaution me semble raisonnable au delà de la polémique qui a fait suite à cette étude, que je ne suis pas en capacité bien entendu, de trancher.
Autres additifs : « un domaine important négligé " .
« Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques, susceptibles de modifier l’imunogénicité et la securité des vaccins, l’évaluation de leur inocuité est indispensable » , écrivait l’ OMS dans son relevé épidemioloique hebdomadaire le 16 juillet 2004. Le sujet demeure, avec notamment le Squalène ( huile de requinAs03) incorporé au vaccin Pandemrix contre la grippe H1N, autorisé après une évaluation précipitée.
L’adjuvant pourrait être à l’origine d’une maladie auto immune rare, la Narcoplespie .
Les premiers cas ont été signalées en Suède en 2010 ; et en 2012, douze pays ont donnés l’alerte. En France sur 4 millions de personnes, ont été déclarés 61 cas de narcolepsie dont 56 imputables au Pandemrix® selon l’ ANSM environ 4 mois après le vaccin, et 5 pour les adultes. Reste à savoir d’où vient ce risque : de la souche virale ? Des procédes de fabrication du Pandemrix® ( le squalène de l’adjuvant MF59C.1 du Focetria® n’a pas eu les mêmes effets) , d’une predisposition genetique ? ( il a été déclaré 3 cas génetiques diagnostiques sans vaccins en France). – AU USA, où les vaccins ne comportaient pas de squalène, seuls deux cas de Narcolepsie ont été signalés.
Autre additif longtemps sur la sellette : le thiomersal, un conservateur derivé de l’ éthylmercure utilisé depuis 1930 pour éviter le developpement des bactéries dans les vaccins et medicaments.
La FDA ( food and droug admin.= l’agence du medicament americaine) conclut en 1999 que les quantités prises isolément ne presentent aucun danger pour la santé mais qu’ « une attention particulière doit être portée aux expositions répétées à ces medicaments, en raison d’un effet potentiellement toxique des doses accumulées « . (Autisme)
Pistes génetiques : Nous sommes tous differents.
Les risques sont :
Des reactions locales aux points d’injection ( rougeurs, douleurs, oedemes des ganglions augmentés etc) migraines,… : des malaises generalement benins). Plus rarement, des effets secondaires sévères sont rapportés, comme des chocs anaphylactiques qui se traduisent par des démangeaisons, rougeurs, gonflement du visage et une detresse respiratoire pouvant entrainer la mort.l La presence d’adjuvant semble les augmenter.
Ces maladies presentent un derèglement du syteme immunitaires, et on sait que les vaccins agissent sur le systeme immunitaire, ce qui fait chercher des causes génetiques.
6 CONTRE-INDICATIONS
Pas anodin, la vaccination : des contre-indications figurent dans les textes d’ AMM.
Pas de contre -indications fondamentales pour les vaccins inactivés :
Diphterie, tetanos, polyo). En revanche les vaccins vivants attenués
( BCG, ROR, Fievre hjaune, varicelle, rotavirus.. ;) sont à écarter pour les personnes dont le system immunitaire est fragilisé ; ainsiq eu traitement imuno dépresseur (chimio)
Et chez les femmes enceintes.Différer en cas de fievre.
L’anticoqueluche n’est pas recommendé chez épileptiques et lorsque provoque forte fievre et syndrome du cri persistant Hypotonie etc.. éviter les rappels. Plus la vaccination est précoce , plus le risque d’effets uindesirables augmente.. (pas avant 3 mois)
7- victimes
Les accidents graves à la suite de vaccinations ont rares mais ils existent.
« nous avons voulu protéger notre fille contre le cancer du col de l‘uterus
en la faisant vacciner déclare le papa de Marie Oceane atteninte d’une encephalomyelithe aigue disseminée imputéee à 50 % au Gardasil (R). Sa maladie a été reconnue, mais ce n’est pas frequent et à la maladie s’ajoute souvent de calvaire de devoir combattre -malgré la fatigue- en ayant assez peu de chance d’être reconnu comme victime. Sans reconniassance, les victimes sont niées. Pour les vaccins obligatoires, elles peuvent saisir l’ONIAM, dans les autres cas il faut saisir un tribunal civile ou penal. Tres log chemin. EN 2009 l’ Etat s’était engagé à prendre en charge les victimes du vaccins H1N1 atteint de narcolepsie. Mais 5 ans plus tard elles peinnent à être indemnisées. C’est pire encore devant les tribunaux :, et c’est cher.
EN 1998 une soixantaine de personnes s’estimant victimes du vaccins conre l’hepathite B ont deposé plainte : aucun procès n’a eu lieu et certaines sont decédées. Devant les juges , elles doivent faire face à deux difficultés majeures : prouver l’imputabilité du vaccin, et prouver sa défectuosité pour que la responsabilité du fabricant soit engagée ! Or,les laboratoires s’exhonèrent par une liste très longue d’effets indesirables sorte d parapluie juridique ( les casas actions sont devenues possibles en 2015).
8 Enfants : des Risques ?
Pour les specialistes, l’exposition des petits aux substances telles que les bactéries est naturellement élévée et induit des taux d’antigènes et des réactions immunitaires beaucoup plus forts que celles des vaccins.
Les études à ce jour manquent sur es effets des synergies ou du mois les études restent en 2014 contradictoires. On sait juste que lorsque les enfants recoivent beaucoup de valence dans une même seringue, il semblerait que le taux d’anticorps contre certaines maladies est moindre que lorsque les vaccins sont espacés sur plusieurs mois.
Somme nous bien informés ?
Les médecins :
Ont très peu de formation sur le sujet ( géneralistes).
Une thèse de 2009 sur l’attitude des géneralistes envers le Gardasyl® majoritairement employé pour prevenir les infections par deux papillomavirus ( HPV16 et 18) en cause dans le cancer du col de l uterus montre que c’est loin d’être toujours le cas : si 55% d’entre eux que 0,3% des HPV evoluent vers un cancer du col de l’uterus, 37 % pensent que 47% de ces MST evoluent vers un cancer. De même, moins d’un tiers sait que ce dernier se manifeste 15 à 20 ans après l’infection et 61% considère le cancer du col comme tres grave alors qu’il est 15 eme en terme de frequence de mortalité. Dans l’enquête 92% sont favorables au Gardasyl mais 61 % de ceux qui le recommandent ont été demarchés à leur cabinet. Ils sont plus nombreux à surestimer les risques de l’infection, mais les informations diffuséees par l’industrie ne sont pas les plus adaptées pour diffuser une prescription en toute objectivité !
« Dans le comité d’urgence mis en place pour conseiller l’ OMS sur la grippe H1N1 en 2009, six experts avaient des liens avec les firmes (p119). En France, le groupe d ‘expertise sur le sujet (GEIG) financé à 100% par l’industrie, a été la référence officielle du gouvernement. Il a été également écouté par l OMA et par l’OMS.
Les exemples de ce types sont courants : faute d’être subventionnés par le public, la recherche est soutenue presque exclusivement par le privé. » Les entreprises se servent de ces chercheurs comme des leader d’opinon. En France un des pus fervents defensuers du vaccin recevait des subsudes du fabricant sanofi pasteur. Le problème est qu’il ne l’avait pas mentionné. Nomrlament depuis la loi de 2002 sur ls-es droits des patients, tous ceux qu’i s’expriment publiquemnt sur un enjeu medical doivent mentionner leurs conflts d’interet mais beaucoup trainenet la jambe, et les décrets d’application ont été pris après 5 années. A noter aussi que le reseau INfovacs est egalement liés aux fabricants de vaccins.
En Allemagne à la même époque, unle president de l’autorité sanitaire a recu un prix de 10 000 euros du fabricant du vaccins pour son engagement en faveur du vaccin. Poyrtant l epxperts independants et compétents existent !
Messages :
Alarmistes
3 la volonté de faire peur sur les risques de contracter l’hépatite B a sans doute été l’un des vecteurs de cette campagne et a été accompagné d’une « certaine exagération des données » note le rapport de l’office d évaluation des spolitiques de santé (OPEPS). Idem pour le lancement du Lagasyl® , messages culpabilisant.
Grippe H1N1.
Autorités sanitaires :
La publicité radio télévisuelle pour les médicaments délivrés sur prescription médicale et, contrairement aux USA , interdite en France. Elle est autorisée sur les vaccins et par les labos eux même s en 2012 ( ce qui a fait bondir la revue Prescrire).
Concernant le vaccin =/Papillomavirus , Xavier Bertrand Ministre avait annoncé la prise en charge avant que la commission pour la transparence de la HAS ait publié son avis (priorité frottis) qu’une étude avait établi la géneralisation du frottis pour les lésions précanceuses à 23000 euros pour la collectivité contre 45000 avec le Gardasil®. L’autorisation de mise sur l amarche du Largasil® avait été accordéee par la FDA puis la MDA un an avant qu ls resyultats des essais de phase 3sur efficacité réelle ne soient soient publiés ?
Ce manque de transparence est contre-productif et accrédite l’idée qu’on ne dit pas tout. Losque les premiers effets indesirables du vaccin contre l’hépatite B se sont manifestés, aucune parole publique n’est venue éclairer les debats, laisasnt les rumeurs s’installer.
Quelles seront les vaccinations de demain ?
Il y a + de 1400 virus pathogènes découverts depuis 1970. Le virus la grippe aviaire et du Sida, (liés à la déforestation et à la promixité , au rechauffement climatique …) franchit la barrière des espéces.
On met au point environ un vaccin par an…cela marche surtout si le germe ciblé est stable..
Marché :
L’age d’or des vaccins ne fait que commencer. Croissance supérieure à 11% /an, (= et dépassera vite les 3% du marché en 2014). Il faut dire que l’industrie du medicament patine. A l’inverse, celle des vaccins est moins contrainte.
Pas de générique pour les vaccins, c’est un marché interessant,le cout en est les regulièrement augmenté, sous pretexte d’innovation ou de fusionner les injections. Même lorsqu’il n ‘y a aucune amélioration du service medical reçu.
Les pays emergeants sont egalement un grand marché.
Conclusion :
« l’histoire de la vaccination a démarré sur un pari : apprendre à l’organisme à se défendre contre une maladie que l’on n’a pas contracté.(..)
Un autre pari salutaire attend la vaccination aujourd’hui : la transparence et l’indépendance. Car l’acte vaccinal n’est pas un acte banal. Une grande partie des professionnels et de la population demande à avoir accès à des données objectives sur la balance bénefice risques des vaccins, c’est à dire évaluées par des experts dont les recherches ne soient pas inféodées aux fabricants et donc soumise à influence. L’interet des industriels n’est pas forcement le même que celui des usagers.Or aujourd’hui les firmes sont juges et parties. (…) Ces dysfonctionnements peuvent mener à des dérapages et à des risques sanitaires comme avec le vaccin contre l’hépatite B dont la facture est (encore) lourde(…). D’autant que la multiplication des vaccins ces dernières années a brouillé les pistes dans l’opinion, qui, à tort ou a raison, a parfois l’impression que les nouveaux vaccins rapportent plus à l’industrie pharmaceutique qu’à la santé publique. » En effet, peu cher au debut, les prix des vaccins ont tendance à s’envoler.. y compris dans les pays pauvres. Un phénomène qui accroit la suspicion : le public a l’impression que l’on cherche à vacciner tout le monde alors que cela n’est pas toujours necessaire. La question ne se poserait sans doute pas si les évaluations scientifiques étaient fiables et menéees en toute independance. Et si la puissance publique était capable d’expliquer ses choix en toute transparence, sans masquer ni exagerer l’essentiel. (…) Aux autorités de rétablir l’equilibre et d’exiger des firmes pharmaceutiques les informations les plus complètes possibles dont elles ont besoin pour rendre leur avis, car de grands vaccins pour de grands fleaux sont attendus demain.
« Les vaccins ont amélioré la vie de millions de personnes, ils sont un enjeu majeur pour des millions de gens sur Terre . Il serait dommage qu’ils apparaisent comme un outil spéculatif plutôt que préventif » .