J’ai lu le super 1er bouquin d’un ami, et "la société de défiance"..

, par  Marie-Odile NOVELLI , popularité : 0%

J’ ai lu :
Le superbe premier bouquin d’un de mes super pote, philippe Mouche... Et aussi :
"La société de défiance, comment le modéle social Français s’autodétruit", petit livre économique à mettre entre toutes les mains !

Pas de vacances de Printemps, ni de ski de fond, mais ces quelques jours, entre deux collages de liège (matériel très écolo) dans la chambre de notre dernier fils, et deux coups de peinture, j’ ai lu...


J’ ai lu d’abord
Le superbe premier bouquin d’un de mes super potes.

Philippe Mouche est un ami.
Il
a été l’artisan (graphisme et com ) de toutes mes campagnes depuis 2001, et il y en a eu ( Cantonales 2001, législatives 2002, legislatives 2007, municipales 2008...)
Mais c’est aussi un écologiste convaincu et éclairé.
J’ ai lu avec très grand plaisir son premier bouquin , un polar décalé sur les intérêts économiques des grandes sociétés et la puissance des média, publié aux éditions Gaïa (pour un écologiste, ça ne s’invente pas !).

Pour éviter de me faire reprocher mon manque d’objectivité, je renvoie à d’autres commentaires...Par exemple, chez "Moisson Noire" philippe Mouche, le complot de gutemberg..ou sur Bibliosurf philippe Mouche, le complot de gutemberg
http://www.bibliosurf.com/+-Mouche-Pierre-+

Signature du livre de Philippe Mouche à la librairie Décitre (Grenoble)

Autre lecture : l’autodestruction de notre modéle social

La France est un pays "corporatiste et étatiste" dans lequel la défiance , l’incivisme (oui, vous avez bien lu) et l’insécurité professionnelle sont parmi les plus élevés dans le mode civilisé.

De qui ce constat alarmant ?

De Yann Algan et Pierre Cahuc, dans un petit livre qui a reçu le prix du livre d’économie en 2008 et qui sort actuellement au modeste prix de 5 euros.
"La société de défiance, comment le modéle social Français s’autodétruit".
Editions rue d’ Uhlm . du CEPREMAT (centre pour la recherche économique et ses applications).

Facile à lire, il donne le recul necessaire à ceux qui veulent regarder sans dogmatisme notre modéle français depuis l’après guerre et chercher des pistes.
Nul doute qu’il bousculera pour cette raison à droite comme à gauche.
Pourtant le constat effectué n’est pas vraiment nouveau pour qui s’interesse à l’économie de la protection sociale et aux enjeux de cohésion sociale, mais jusqu’ici ces réflexions restaient dans un petit cercle d’inités. C’est tout le mérite de cepetit livre d’ouvrir plus largement le débat.

MO N